O que je suis gêné de fixer ton visage
En ta présence mes yeux n’osent se lever
L’esprit peine à peindre ton image
Ingrate la mémoire n’ose le sauver
O que je suis gêné me manque le courage
De t’avouer la douleur que cœur a couvée
Et comment l’annoncer je perds mon langage
Comment te dire que t’aimer m’est arrivé
Quel gâchis qu’un soleil jamais ne chavire
Ni ne puisse au besoin se lever
Ni n’esquisse au souffrant un sourire
Ni ne se soucie de son mal aggravé.
Par Bachirrr
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