Tu as entre les doigts une fourmi
J’ai le choix te vantes-tu
En écrasant je la tue
Si je la relâche elle vivra
Tu as la gorge d’un homme
A la pointe de ton épée
J’ai le choix te vantes-tu
J’enfonce il mourra
Je renonce il vivra
Le Créateur a décidé tout au début
Qu’une fourmi écrasée ne vivra pas
Qu’un homme à la tête tranchée mourra
Ton acte ne consiste
Qu’à combiner d’immuables lois
Qui ont toujours existé
Montre ton pouvoir
Mets une casserole d’eau sur le feu
Ordonne à l’eau de se glacer
Elle te désobéira.
Par Bachirrr
Oui
RépondreSupprimerÊtre éclairé de l'immensité des fonds philosophiques du savoir et de sagesse traduit par la poésie telle que vous avez évoqué ne serait qu'une illumination donnée par le grand miséricordieux à celui qui l'adore (tant mieux pour vous)
RépondreSupprimerMerci ! Enfin une consolation !
SupprimerMerci beaucoup mon frère
RépondreSupprimerJe vous en prie !
SupprimerSchools of matreg cobra
RépondreSupprimerMerci beaucoup mon frère
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